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Les layons de fleuron.


Pour s’atténuer de l’horreur que me confie l’ésotérisme des nuits, je traverse mes matinées à rêvasser les broutilles qui peuvent me susciter du plaisir, comme chérir des alliés, côtoyer les régions sous-marines, très fondamentales et réelles du cosmos, énoncer mes lèvres contre la bouche rayonnée d’une jeune femme expérimentée que je vénère, rester dans ma coquille pour deviner les rêveries des créateurs des œuvres littéraires, rattraper mon souffle grâce aux atmosphères neuves de la poésie, ainsi que me détendre de l’effroi causé par les hypothèses existentielles qui ne cessent d’errer de l’aube au déclin.

Sur l’itinéraire que je crois tyrannisant pour mon sort, en épilogue, Il se passe que pour avoir des coutumes aisées, voire peu sévères, se desserrer corps et cœur du fait exorbitant d’appartenir à la vie est une chose pudique et larguer la festivité qui ne fait pas réjouir, c’est palper l’euphorie démesurée, méticuleuse et vivifiante.”

— M.